Voici donc l’ultime épisode après 10 ans d’interviews, 10 ans de rencontres qui ont bouleversé ma vie.
Je n’aurais pas fait long feu avec cette nouvelle série de podcast sûrement parce qu’elle était un sursaut me menant ailleurs !
Pour ce dernier entretien, que je ne savais pas être le dernier, je suis enchantée de recevoir Marine, une femme de conviction, qui, lors de nos quelques échanges, a eu un impact significatif sur ma manière de regarder certaines problématiques.
Je voulais avec elle comprendre ce qu’est le marxisme. J’aime les documentaires biographiques d’ARTE qui me permettent de voyager dans la vie des artistes, des rois comme des activistes. Un jour j’ai suivi Rosa Luxemburg dans son engagement politique. Qu’y-a-t-il de si fascinant dans la vision de Karl Marx pour des personnes aussi inspirantes que Rosa ?
Nous avons souvent des idées toutes faites sur des concepts que nous ne connaissons pas vraiment. Je vous propose avec Marine de mettre le pied dans des eaux inconnues pour beaucoup d’entre nous. Une interview qui n’en est pas vraiment une puisque j’y prends beaucoup de place exposant mes interrogations sur le monde. Je vous y expose également les raisons de l’arrêt du podcast et mes courtes conclusions sur ces 7 épisodes utopiques.
Maintenant je vais chercher comment servir au mieux ce monde, comment transformer ma colère en action concrète qui m’amène à plus de cohérence. Le chemin se trace avec chaque pas.
Quelques références :
Isabelle Garo « Communisme et stratégie »
Phénomène TINA
Grégoire Chamayou « La société ingouvernable – Une généalogie du libéralisme autoritaire »
Jacques Rancière dont une recherche sur le net vous mènera à de nombreux contenus audio/vidéo
Le podcast Sismique animé par Julien Devaureix.
La musique du podcast : The Jam – Miles Stone – General Fuzz
Bonjour, je vous découvre à peine et vous voilà déjà sur d’autres chemins… Je vous souhaite bonne chance dans vos nouvelles aspirations et merci pour les partages!
Merci Sylvie. J’arrête mon podcast sans un bruit, dans ma propre indifférence et votre message est comme une voix qui sort du brouillard. Merci de me rappeler que les bouteilles à la mer atteignent parfois des rivages. 🙂
Bonjour Joanna,
Je vous souhaite de la réalisation donc
J’ai suivi vos émissions, vos questionnements, de l’écho dans mes propres questions, merci pour nous avoir fait rencontrer à travers vous des personnes singulières, des points de vues entraînants, des expériences inspirantes,
et toujours du naturel, du brut, qui fait beaucoup de bien
j’aime l’inattendu
même ce départ, c’est bien, c’est la vie, elle ne prévient pas, et ça montre qu’il y a des appels qui sont bons à suivre même si les choses semblent installées et bien tourner
Je crois que j’ai écouté tout ou presque de vos entretiens, avec beaucoup de plaisir
donc bon vent à vous et n’hésitez pas à revenir nous éclairer de vos trouvailles et rencontres ! votre partage rayonne loin !
Myriam
Cela fait tellement chaud au cœur de vous lire. C’est ce lien invisible avec des milliers de personnes dont parfois j’oublie la force. Et à travers vos mots, ou il y a encore quelques jours à une terrasse à Lorient, je croise quelqu’un qui me dit que nous avons cheminé ensemble, que les ondes se propagent. Myriam, je suis heureuse de savoir qu’à travers ces interviews, nous avons partagé un bout d’existence. Merci pour votre accueil et nous nous retrouverons peut-être dans de nouvelles explorations.
Bonsoir Joanna,
Je ressens de la tristesse à l’idée de ne plus écouter tes podcasts…ils sont tellement enrichissants ! Pourtant, je sais que c’est choisi de ta part et que cela te mènera vers de nouvelles aventures. La vie n’est pas quelque chose de figer, alors c’est chouette que tu essaies de suivre le courant : )
(désolé si tu n’aimes pas le tutoiement)
Belle suite,
Delphine
j’aime le tutoiement et sa proximité. Merci pour ton message et même ta tristesse, témoin de ce qui se noue entre nous au travers de toutes ces interviews. C’est étrange de s’être posé autant de questions toute sa vie et que cela s’arrête presque net ! Je ne ressens aucune nostalgie ou doute, de la paix. Merci beaucoup pour ton message Delphine, et qui sait, on se croisera peut-être un jour.