Le lendemain de mon interview avec Philippe Bloch, je reçois un mail d’une inconnue « Objet: petite prise de contact »
Je souris et je l’envoie à Philippe car en effet c’est étrange cet adjectif « petit » ajouté là!
Deux jours plus tard, j’ai RDV pour la première fois avec Arnaud, un entrepreneur breton, à Montparnasse. Pratiquement 3 heures de conversation à battons rompus sur la vie, la mort, les prémonitions, l’intensité… Un bain d’ions positifs qui m’a rechargée et fait toucher du doigt ce que j’aimerais réussir à transmettre, cette essence impalpable du bonheur.
Arnaud me demande si je connais Philippe Bloch. Je lui réponds amusée que je viens de le rencontrer pour la première fois. Il me raconte que lui-même s’agaçait de ce « bon courage » assené à tous vents et le faisait remarquer à son entourage. Alors quelle joie d’entendre ce même constat dans les médias!
Je vous avouerai que je n’avais jamais remarqué que nous généralisions le lexique pessimiste dans notre langage. Mais courage, on peut s’en sortir avec un petit effort
Le lendemain de mon interview avec Philippe Bloch, je reçois un mail d’une inconnue « Objet: petite prise de contact »
Je souris et je l’envoie à Philippe car en effet c’est étrange cet adjectif « petit » ajouté là!
Deux jours plus tard, j’ai RDV pour la première fois avec Arnaud, un entrepreneur breton, à Montparnasse. Pratiquement 3 heures de conversation à battons rompus sur la vie, la mort, les prémonitions, l’intensité… Un bain d’ions positifs qui m’a rechargée et fait toucher du doigt ce que j’aimerais réussir à transmettre, cette essence impalpable du bonheur.
Arnaud me demande si je connais Philippe Bloch. Je lui réponds amusée que je viens de le rencontrer pour la première fois. Il me raconte que lui-même s’agaçait de ce « bon courage » assené à tous vents et le faisait remarquer à son entourage. Alors quelle joie d’entendre ce même constat dans les médias!
Je vous avouerai que je n’avais jamais remarqué que nous généralisions le lexique pessimiste dans notre langage. Mais courage, on peut s’en sortir avec un petit effort 😉
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Salut Joanna,
D’abord merci pour ce que tu fais pour réaliser ton rêve, le rêve secret de beaucoup de gens : trouver du bonheur !
J’ai un « petit » conseil pour améliorer l’efficacité de tes vidéos, c’est à propos du son. Tu t’es sans doute rendu compte par toi-même, mais tu n’es pas très audible, ou en tout cas dans plusieurs vidéos que j’ai vu on a du mal à bien entendre les deux protagonistes. J’imagine que ceci a une raison technique, c’est-à-dire l’utilisation d’un seul micro. Donc voilà, si tu utilises deux micros distincts tu pourras régler le son de chacun et avoir des vidéos plus percutantes, dignes de tes aspirations.
En espérant de t’être utile, je ne te souhaite certainement pas « bon courage », en revanche je te souhaite une bonne journée et beaucoup de plaisir avec ta mission !
JB
Salut JB, merci 🙂
Oui j’ai bien remarqué et reçu plusieurs messages déjà sur le sujet 🙂
Confidence n°1: j’ai tout le matériel nécessaire pour avoir un son parfait. Deux beaux micros que j’ai payé cher pour avoir une belle qualité.
Confidence n°2: je suis paresseuse et n’ai pas envie de devenir esclave de la technique à vérifier si tout fonctionne, si les piles sont à plat, l’enregistreur bien enclenché, la caméra en route… J’ai envie d »être là avec l’invité 🙂
Confidence n°3: je pourrais mettre le micro à équidistance entre moi et mon interlocuteur mais je suis restée vexée des commentaires sur mon rire et que l’on m’entendait trop sur mon interview de Burensteinas, du coup je suis partie dans l’excès inverse. J’ai envie de pouvoir rire très fort sans que ça casse les oreilles des auditeurs. Ça s’équilibrera quand j’arrêterai de faire mon enfant qui boude!
En tout cas merci pour les conseils et tes encouragements 🙂
Comme aurait pu ma grand-mère : « What others think of you is none of your business ! » Si tu veux le savoir : tu as un joli rire, éclatant, propre qu’à toi. Y habitue-toi, jusqu’à en être fière, car le rire, c’est quand même essentiel pour ressentir le bonheur. Boude si tu veux (tu as le droit), mais sache que ça ne sert qu’à résister, donc à rien.
Je te souhaite bonne et longue continuation, au plaisir de recevoir de tes nouvelles.
Ciao, JB
Encore une très belle interview!
J’ai adoré la pêche et le regard de Philippe sur notre société. J’ai beaucoup aimé ces trois points :
– Vive les projets !!! c’est une des clefs du bonheur.
– « La prochaine aventure sera toujours plus belle ! »
– Se donner les moyens de se lever chaque matin pour aller faire un truc qu’on aime.
Super et merci beaucoup !
Joanna,
J’adore cet interview pleine de bonheur et d’optimisme mis à part sur l’homme providentiel qui semble difficile à identifier (réalité ou regard ?). Vous nous démontrez à nouveau que la pensée créée la réalité. Vous croyez au bonheur et vous le vivez. Je pense que tu peux être la femme providentielle !!!
Pour le fun, je te joins ici la note que j’avais écrit à mes collègues de coworking dans un moment d’humeur en réaction à cette expression « Bon courage »
« Chers amis
On a besoin de bonne humeur, de dynamique, d’esprit positif mais pas de courage, on ne va pas à la mine !!! :-))) Selon certains hommes de lettres, les choix de langage traduiraient une manière de penser, une vision du monde
http://www.lexpress.fr/culture.....97124.html
Bonne journée, bonne après-midi, bon matin… have good day! »