Une des clés du bonheur est sûrement le deuil, lâcher l’illusion d’une vie emplie d’ambroisie. Quand l’on cesse de courir après cette perfection ailleurs, un étrange phénomène se produit. Loin de la résignation, on apprend à extraire le miel de toute expérience. Ne vous est-il jamais arrivé de souffrir et de pouvoir quand même sourire voir même rire ? Rire non pas de la souffrance mais souffrir en reconnaissant que ça n’empêche pas d’aimer la vie pleinement, avoir conscience que tout passe, même ça. Avoir envie de dire merci parce que l’on sait que l’on va en ressortir grandi si on reste ouvert à l’enseignement qu’il y a dans chaque expérience, heureuse comme douloureuse.
Jean-Luc a fait de son chapelet d’épreuves un trésor de guerre qu’il distille sur Moralotop. Il a décuplé son optimisme au fond de la piscine. Rejoignez le sur www.moralotop.com (pas au fond de la piscine !)
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J’aime beaucoup ce format libre d’interview, très spontané!
Une autre façon de découvrir Jean-Luc que je ne connaissais qu’à travers ses articles sur Moralotop.
Et si la question est réthorique, je répondrai tout de même que… Oui (« Rire non pas de la souffrance mais souffrir en reconnaissant que ça n’empêche pas d’aimer la vie pleinement, avoir conscience que tout passe, même ça. Avoir envie de dire merci… »)
Malgré ma dose d’épreuves il y a bien des années, une ‘petite’ vient de croiser ma route et je me suis fait cette même réflexion l’autre jour. Oui ça fait mal, mais ça ne m’empêche pas d’être heureuse ni d’aimer la vie. Au contraire 🙂
Belle journée ☼
Coucou Héloïse, merci pour ton message car la question du format, de l’efficacité et du professionnalisme revient régulièrement. Personnellement j’aime prendre mon temps, ne pas trop penser ces rencontres. Je suis heureuse que ça te plaise 😀 Et pour ce qui est des épreuves: inévitable ! Qu’est ce qu’on en fait ! 😉