La vie est magique.
Rencontrer un alchimiste, ça pourrait paraitre farfelu comme des restes d’un autre age. Je m’évertue à garder les pieds bien sur terre car je pense que c’est ici que ça se passe. Les mystères de l’au-delà, les mécanismes invisibles, je comprends qu’ils fascinent mais moi ce que j’aime c’est conduire. La sensation de la grosse cylindrée, pas les boulons. Je ne comprends pas les rouages de la magie mais chaque jour je peux en constater la beauté. J’aime vivre le mystère. J’aime dialoguer avec l’invisible.
Rencontrer cet alchimiste c’est comme redonner sa place à la magie oubliée de ce monde. Je crois que l’on peut tout à fait être de ce monde, la tête sur les épaules et vivre l’extraordinaire. Patrick m’a emmenée sur les chemins pavés du cimetière du Père Lachaise à Paris. La magie était prégnante comme si tout était plus vif. Les arbres bruissaient du galop de cent chevaux. Les tombes parlaient de politique, d’initiation, de silence pour mieux entendre.
Pendant l’interview, l’émotion est montée jusqu’au bord des cils. Patrick Burensteinas exprime en toute simplicité ma vision du monde. Maison!
Je me suis sentie tellement de fois étrange, j’ai tellement remis en question mes pensées, mes sensations que d’entendre un autre, extérieur à moi, dire avec une telle force paisible ce qui m’est si fondamental m’a fait un bien fou.
J’espère que cette interview vous fera à vous aussi un bien fou.
Merci à Soo qui la première m’a parlée de Patrick. Merci à Yannick pour sa fabuleuse interview de Patrick sur Widoobiz. Un petit clin d’oeil à Julien de Widoobiz croisé quelques jours avant: je lui ai bien posé la question sur mon prénom.
Pour aller plus loin, car je pense que vous serez beaucoup à vouloir aller plus loin, je vous conseille les livres de Patrick Burensteinas et son coffret DVD:
Le Voyage alchimique – Sur les chemins de la pierre philosophale
Heptalion
La Trame – Se soigner par l’énergie du monde
Et ne ratez pas l’interview de la radio Ici et maintenant: Passionnant!]]>
Merci beaucoup pour cette très belle rencontre pleines d’humours et de sagesse.
Cela m’a aidé suivre mon chemin du bonheur.
Je me sens aligné 🙂
Passionnante interview, je ne connaissais pas Patrick Burensteinas, mais il a cette faculté incroyable de dire simplement des choses profondes et parfois absconces. Ca m’a donné effectivement envie d’en savoir plus, merci Joanna 😉
Merci pour cet échange très enrichissant. La prochaine fois que je m’ennuie, je tenterai de rester immobile et de décrocher ma mâchoire 😉 Cet échange est une invitation à une merveilleuse fête : celle du présent. En la regardant, j’ai repris conscience de l’importance de ce qu’on ressent face à un rayon de soleil, face à un sourire ou encore face au silence. Tes entretiens et tes rencontres sont une mine d’or Joanna. Merci pour ces merveilleux partages 🙂
Hello Joanna,
En tant que pratiquant, je me permets de corriger quelques idées simplistes sur la méditation. Il ne s’agit en aucun cas d’une méthode pour « faire le vide ». En tant qu’Occidentaux, elle est au contraire un formidable chemin de transformation pour nous permettre de voir le fonctionnement de notre esprit.
Jean
Merci Patrick pour ce bel exposé , éclairant et nourrissant!
Merci pour ce moment où je suis restée immobile, silencieuse (à l’écoute) et alignée.
Dommage que les ricanements de Joanna couvrent ta voix par moments …. (Le son semblait plus fort du côté de l’intervieweur que de l’interviewé !)
Je suis heureuse que cette interview vous ai plu. Patrick est un puit de savoir et a son contact j’ai appris car il est off-camera, ce qu’il dégage là.
Jean, merci pour l’éclairage. La méditation, et les études le montrent, est très puissante pour se connaitre et aborder la vie avec sérénité. Elle nous appelle à être conscient chaque instant.
Francine, votre message vient à point. Un ami vient de m’appeler à l’instant car je lui avais confié que mes rires m’empêchaient de revoir cette interview. Cela m’exaspère et à mon habitude je me suis flagellée. Cela fait quelques semaines que des gens me donnent des clés pour trouver mon calme. Je vous demanderais seulement d’avoir une certaine bienveillance dans vos mots car ils peuvent heurter. Quand je fais des interviews, je dois gérer beaucoup de paramètres et le son en est un où j’ai encore a beaucoup progresser. Je suis femme orchestre et j’aimerais vous restituer des entretiens limpides, je n’y suis pas encore. Je progresse doucement.
Personnellement, j’adore les rires : cela rend l’entretien vivant et n’empêche nullement de clairement capter le message de l’intéressé. Je préfère de loin la spontanéité à un échange « professionnalisé » comme sur TF1 😉
Après, impossible de plaire à tout le monde. L’essentiel est que le message puisse se transmettre avec une belle attention.
😀
Merci Thomas. Il faut cependant que je trouve la mesure 😉
Haha dans un monde démesuré qui se veut mesurer, pas évident de trouver la bonne mesure 😉 Finalement, la mesure est une notion complètement subjective. Faut-il donc vraiment tout canaliser pour rentrer dans un moule démesuré qui souffre de son cadre ? La question est ouverte (mais sort du cadre de l’article et de la vidéo).
Ca fait du bien d’entendre ça 😀
Je crois que tout ça est également lié au désir d’être accueilli comme la définition du bonheur de Marc Vella http://www.moodstep.com/happyview18-marc-vella/
On ne peut en effet pas plaire à tout le monde!
Je veux respecter la parole de mes interlocuteurs. Pour aller dans ton sens, j’ai généralement de très bons retours des personnes que je rencontre qui me disent se sentir à l’aise.
Après il est vrai que j’ai du tenir le micro dans les mains car sinon il était trop loin de Patrick. Mais ça, nous, quand on parle, ça ne nous parasite pas la conversation. Je rigole comme je le fais dans la vie 😉
En tout cas merci beaucoup pour ton point de vue. Il est réconfortant 😉
http://www.elle.fr/Minceur/New.....al-2448838
Oubliez le minceur/sport et forme 😉 on se demande bien ce que ça fait là!
Merci beaucoup Joanna pour cette interview très intéressante qui éveille l’esprit et qui rejoint ma vision de la vie sur de multiples points. Rien à dire sur la vidéo, juste le vent un peu gênant parfois. Merci pour ce partage ! 🙂
Burensteinas est passionnant: je l’ai connu grâce à un ami éclairé et ses interventions dans les excellents de documentaires de M.COMBE, visibles grâce à Nemesis TV. Je rejoins Francine qui ne m’a pas parue « malveillante » mais juste exprimé une évidence: dommage Joanna que vous soyez aussi présente et vos rires incessants entravent l’écoute. c’est un avis neutre qui n’est pas là pour « formater » ou « juger » et blablabla mais la prochaine fois, ça sera encore mieux si vous parvenez à être plus en retrait. Merci pour l’itw.
Bien d’accord Kaïros, ça n’empeche en rien d’être courtois comme vous l’êtes d’ailleurs. Ricanement est un mot teinté et je crois que l’on peut conseiller avec bienveillance. Je me lance, je fais, la critique est toujours plus facile que l’action.
Absolument! Et l’interview est passionnante et comme on dit: »la critique est aisée, l’art difficile ». Merci d’avoir fait déjà: grand plaisir d’entendre cet échange. C’est juste, comme vous l’avez bien dit vous-même – une question de dosage (les rires)
Bonjour à tous,
J’ai décidé de fermer les commentaires de cette vidéo sur Youtube et ce blog. Commentaires et messages privés malveillants me font douter que certains apprentis alchimistes comprennent vraiment le message de Patrick Burensteinas. Je suis toujours prête à entendre les critiques constructives mais mettez-y la bienveillance que nous méritons tous, peu importe notre état de conscience. Je suis navrée que cette interview génère autant de négativité car je garde un souvenir fabuleux de cette rencontre!
Joanna
[…] trouverez des liens vers de très bonnes interviews de Patrick Burensteinas dans l’article:http://www.moodstep.com/happyview88-p… Que mes rires ne ternissent pas pour certains le […]
[…] C’est un texte très court, composé d'une douzaine de formules allégoriques et obscures, dont la fameuse correspondance entre le macrocosme et le microcosme : « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ». Patrick Burensteinas. […]