Moodstep prend de grandes respirations et les articles se font plus rares ce dernier mois.
Quelques raisons à ça. Un samedi 2 juin sublissime où je n’ai pu que constater comment l’amitié et l’amour peuvent se manifester de la plus belle manière. Mon frère s’est marié dans la chaleur d’un jour béni par le soleil et la grâce des sourires de tous.
Et comme un de mes amis se marie en Ardèche en juillet, j’ai décidé de prendre ce temps pour visiter la France. Je suis donc sur les routes de Normandie, du Périgord, des Pyrénées, des Cévennes, d’Ardèche, de Bourgogne… jusqu’à la mi-Juillet.
J’en profite pour lancer deux nouveaux projets personnels dont je ne manquerai pas de vous parler. D’ailleurs dans l’interview d’Isabelle Jacob que vous pouvez découvrir aujourd’hui, Isabelle parle sans le savoir de mes nouvelles envies. Comprendre son bonheur débouche sur une transformation personnelle qui ne tarde pas à se manifester dans une transformation sociale. J’ai envie d’explorer les cadres de notre société, de rencontrer ceux qui ouvrent de nouveaux chemins. Je vous en reparle bientôt.
Et puis la Galaxie Happylab s’étend et ce petit voyage me permet de faire des repérages pour l’un des projets d’Happylab: Happylab est dans le pré. Vendredi on m’a parlé d’un lieu magique à l’autre bout de la France. J’y vais. D’ailleurs, vous pouvez peut-être m’aider, je cherche un coin de nature qui inspire la contemplation et l’émerveillement. En septembre, j’ai du pain sur la planche puisque Happylab se lance de nouveaux défis avec: Radio Happylab, Happylab Academy, Happylab entreprise, les cafés Happylab, le Forum Happylab du 13 octobre… Une galaxie je vous dis!
Moodstep reste un mantra du bonheur avec une question qui peut paraitre vaste ou insignifiante et qui m’amène à constater à quel point nous ne mettons pas les mêmes définitions derrière les mots. Et lorsque l’on creuse, on trouve cependant la même essence. Je suis si friande de ces rencontres que ce ralentissement n’est que provisoire puisque je sais déjà qui je vais aller rencontrer en septembre quand je rentre de ma villégiature bretonne.
Je vous invite maintenant à découvrir cet entretien avec Isabelle Jacob qui a fondé le centre Iris de formation à la créativité. C’est grâce à un bug informatique que j’ai rencontré Isabelle. Quand je suis arrivée dans la petite cours de la rue de Bagnolet où je vous invite à aller flâner tant les petits passages du quartier sont charmants, j’ai pris Isabelle de court avec mon objectif car je n’avais même pas dit que j’allais l’interviewer. Ça devient si évident pour moi que j’oublie même d’en parler!
Je vous laisse découvrir cet entretien avec encore de nouvelles facettes du bonheur qui n’avaient pas encore été mentionnées.
En sortant du centre Iris je me suis retrouvée un micro sous le nez, une caméra en pleine face. TéléBocal! Alors, vous avez regardé le débat de l’entre deux tours? Bientôt la cadreuse abandonnait son poste car j’étais en plein débat sur la démocratie avec le journaliste. A ce moment Stéphane, un copain me donne une tape dans le dos. Un hasard, j’aime les hasards. J’ai quitté le journaliste en bons termes malgré un départ chaotique. C’était une belle journée.
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